Comme chacun sait, la chrétienté est un exemple, s’il en fallait, de développement durable. Si certains pensaient il y a deux milles ans fonder un mouvement « politique » au sens contemporain, ne se sont-ils pas trompés ? La peur et la promesse de l’apocalypse ne sont-ils pas de meilleurs leviers pour attirer les foules ?
C’est sur ce parallèle qu’est bâtit ce petit feuilleton pamphlétaire affectueux. Qui aime bien charrit bien …